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  • Soutenir la faune par l’art : un premier don de 1 500 $ grâce à vos achats

    L’art et la conservation de la nature peuvent aller de pair. Grâce à votre soutien et à votre amour pour la photographie animalière, j’ai le plaisir d’annoncer un premier don de 1 500 $  à la Fondation de la faune du Québec . Ce montant a été récolté grâce aux ventes d’œuvres réalisées cet automne à la galerie-boutique Les choix d’Annie  à Sutton, en seulement quelques semaines. L’impact de vos achats  Chaque photo vendue n’est pas seulement une œuvre d’art à exposer chez vous, c’est aussi une contribution directe à la protection de la faune québécoise. En choisissant de reverser 50 % des revenus nets  des ventes d’œuvres encadrées chez Les choix d’Annie  à la Fondation, mon objectif est de faire de la photographie un levier de sensibilisation et d’action pour la biodiversité. Pourquoi la Fondation de la faune du Québec ?  Depuis des décennies, la Fondation de la faune du Québec  joue un rôle essentiel dans la protection et la restauration des habitats naturels, la recherche sur les espèces vulnérables et les initiatives éducatives auprès du grand public. C’est aussi une cause chère à Annie et Pierre , les sympathiques propriétaires de la galerie Les choix d’Annie , qui partagent cette passion pour la nature et la conservation. Ce don contribuera à soutenir leurs projets en faveur de la faune sauvage et de la préservation des écosystèmes qui font la richesse de notre territoire. Un premier pas vers une ambition plus grande  Ce don marque le début d’une initiative plus vaste. Mon objectif est d’amplifier cet impact en développant de nouveaux projets qui permettront de lever encore plus de fonds pour la conservation et d’autres œuvres qui me tiennent à cœur. Ce premier montant, récolté en quelques semaines seulement, démontre le potentiel de cette approche et me motive à aller encore plus loin. Merci à vous !  Ce succès est avant tout le vôtre. À chaque achat, vous participez activement à cette mission de conservation. Votre engagement et votre passion pour la nature font une réelle différence. Continuons ensemble  L’engagement ne s’arrête pas là ! D’autres œuvres sont disponibles à la galerie Les choix d’Annie  et les ventes à venir permettront de poursuivre ces dons. Où nous trouver ?   Les choix d’Annie  – Sutton, Québec Ensemble, faisons de l’art un moteur pour la conservation de notre patrimoine naturel !

  • Honoré d’être nommé ambassadeur de Pictorem

    Je commence la nouvelle année avec une étape importante. J’ai été choisi comme ambassadeur de Pictorem , mon imprimeur d’art de confiance depuis des années — une entreprise qui a été un partenaire essentiel dans mon parcours de photographe animalier. Cette reconnaissance arrive à un moment où je repense à l’origine de ma passion pour la photographie. Mon père, qui nous a quittés récemment, a été celui qui m’a mis un appareil photo entre les mains pour la première fois. Il m’a appris à regarder le monde à travers un objectif — à saisir des instants au lieu de simplement les observer. Ce cadeau, je le porte avec moi chaque jour. Depuis des années, Fabien Dormoy, fondateur de Pictorem , est bien plus qu’un prestataire de services : c’est un véritable allié et un ami, qui veille à ce que mes images prennent vie sur des impressions et embellissent des murs partout en Amérique du Nord. Grâce à son engagement et à celui de son équipe, ma vision a pris vie à travers un travail d'une qualité exceptionnelle. Je lui en suis profondément reconnaissant. Un immense merci également à Joey Franco , qui a su capturer une partie de mon histoire de façon naturelle et authentique, malgré le fait que je sois plus à l’aise derrière l’objectif que devant. Ce rôle d’ambassadeur est aussi un rappel de la raison qui me pousse à faire ce métier : redonner. Une part importante de mes revenus de photographe animalier, y compris les magnifiques impressions créées avec Pictorem, est dédiée à des causes qui me tiennent à cœur, notamment la conservation de la faune. En acceptant ce nouveau rôle, je tiens à remercier toutes celles et ceux qui soutiennent mon travail. Chaque achat, partage ou mot d’encouragement nourrit ma mission. Ensemble, nous faisons une différence, une image à la fois. À une année remplie de sens, de créativité et de belles connexions. Pour mes oeuvres imprimées par Pictorem et livrées gratuitement en Amérique, c'est ici! Jacques-André Dupont Photographe animalier

  • Masai Mara : Un Paradis pour la Photographie des Grands Félins

    Pourquoi le Masai Mara ? Le Masai Mara est un véritable rêve devenu réalité pour les photographes. Avec ses vastes savanes, ses collines ondulantes et la rivière Mara qui traverse le paysage, le décor est à couper le souffle. Mais c'est la haute densité de grands félins qui distingue vraiment le Mara. Chaque jour, il n'est pas rare de repérer plusieurs ces prédateurs de pointe, offrant ainsi des opportunités infinies pour une photographie incroyable. Mon Expérience Inoubliable Lors d'une de mes récentes visites au Masai Mara, j'ai vécu une journée extraordinaire où j'ai photographié quatre grands félins différents : plusieurs lions, deux léopards, des guépards et un plus rare serval. Chacune de ces rencontres était unique et exaltante, offrant une gamme diversifiée d'opportunités photographiques. Lions : Les rois de la savane, les lions sont peut-être les résidents les plus emblématiques du Mara. Léopards : Évasifs et solitaires, les léopards sont souvent considérés comme le prix ultime pour les photographes animaliers. Guépards : Connus pour leur vitesse et leur grâce, les guépards sont un autre point fort du Mara. Servals : Plus petits, plus rares moins connus que leurs grands cousins, les servals sont tout aussi captivants. Capturer le Moment L'un des aspects les plus palpitants de la photographie au Masai Mara est l'imprévisibilité des rencontres avec la faune. Vous ne savez jamais ce que vous verrez ensuite. Ce jour-là en particulier, j'ai pu capturer quatre grands félins différents, chacun présentant des défis et des opportunités photographiques uniques. Conclusion Le Masai Mara est véritablement un paradis pour la photographie des grands félins. L'excitation de voir et de photographier ces animaux magnifiques dans leur habitat naturel est une expérience comme nulle autre. Que vous soyez un photographe chevronné ou un passionné de safari, le Mara offre une opportunité unique de se connecter à la nature et de capturer l'essence de la beauté sauvage de l'Afrique. Ne manquez pas la chance de créer vos propres souvenirs inoubliables et des images époustouflantes dans cette réserve iconique. Pour plus de conseils et d'histoires du monde sauvage, suivez mon parcours et restez à l'écoute pour des mises à jour sur les meilleurs lieux et expériences de photographie animalière.

  • #NatureSansIA

    Se lancer dans une carrière de photographe animalier est bien plus qu'une vocation ou une passion ; cela traduit un engagement envers l'essence authentique et non éditée de la nature. À l'ère du progrès numérique, l'imagerie générée par l'intelligence artificielle a ouvert de nouveaux horizons créatifs. Cependant, pour ceux d'entre nous profondément dévoués à l'art de la capture de la faune, la préférence demeure de diriger nos objectifs vers les merveilles véritables, sauvages et naturelles de notre monde. La tendance croissante à utiliser des applications d'IA pour créer des images de nature et de faune sauvage est préoccupante. L'essence de la photographie animalière réside dans son imprévisibilité, l'attente prolongée de ce moment parfait, et le profond respect pour les sujets que nous cherchons à représenter. Chaque photo raconte l'histoire d'une existence brève et authentique, non altérée et sans mise en scène. L'excitation d'être dans les habitats naturels, de ressentir les éléments et de partager des espaces avec des créatures sauvages offre une authenticité irremplaçable que l'IA ne peut pas égaler. Ces expériences ne façonnent pas seulement les photographies mais aussi le photographe, renforçant une connexion profonde et une responsabilité envers la préservation de la faune. Choisir #NatureSansIA est plus qu’une préférence personnelle ; c'est une position sur la conservation et les pratiques éthiques en photographie. Les images générées artificiellement, bien qu’impressionnantes, n’ont pas l’essence des rencontres réelles. Le battement de cœur de la nature sauvage, le souffle de la forêt et l'âme de l'indompté leur manquent. En promouvant une véritable photographie animalière, nous plaidons pour la protection et la valorisation de la faune dans son état naturel, contribuant ainsi à une plus grande prise de conscience de la nécessité de la conservation. De plus, la vraie photographie animalière joue un rôle essentiel dans la recherche scientifique et l’éducation, offrant des visuels authentiques qui soutiennent l’étude du comportement des animaux, de leurs habitats et des besoins de conservation. Ces images inspirent l’action, favorisent l’amour de la nature et nous rappellent la beauté fragile que nous risquons de perdre si nous ne faisons pas d’efforts pour la protéger. En lançant#NatureSansIA j'invite mes collègues photographes, passionnés et défenseurs du monde naturel à se joindre à la célébration de la véritable splendeur de la faune. Engageons-nous à préserver l’intégrité de notre métier et l’authenticité des histoires que nous racontons à travers nos objectifs. Ensemble, nous pouvons défendre un avenir où la photographie animalière restera un outil puissant pour la conservation, l’éducation et la beauté brute du monde tel qu’il est réellement.

  • LE PHOTOGRAPHE JACQUES-ANDRÉ DUPONT EN VEDETTE AU MUSÉE NATIONAL DE LA PHOTOGRAPHIE

    Le Musée National de la Photographie de Drummondville consacre du 6 juin au 29 août, une exposition au photographe animalier québécois de réputation internationale,Jacques-André Dupont. Intitulée Libres et Sauvages, Portraits animaliers d’Amérique et d’Afrique, l’exposition présentera une quarantaine d’œuvre grand format capté lors de ses rencontres avec la faune. Du fou de Bassan, au léopard furtif, on y découvrira l’humanité derrière le regard perçant des animaux sauvages immortalisé par sa caméra. Dans le cadre de l’exposition, une série numérotée de ses œuvres sera mise en vente au public. La totalité des revenus seront remis au Fonds Muséal Scolaire pour les Écoles 
Défavorisées du Québec, qui recevra 100 % des recettes. Durant cette même période les photographes animaliers québécois de renoms Jean-Simon Bégin et Jérémie Leblond Fontaine seront aussi en vedette au musée.

  • The Adventure Junkies nomme mon blog dans le Top 25 des blogs de photographie en plein air pour 2021

    C'est très excitant de recevoir un courriel comme celui-ci ! "The Adventure Junkies sont ravis d'annoncer le Top 25 des blogs de photographie en plein air de 2021 et, surtout, vous êtes dans la liste ! Félicitations !" Allez vérifier la liste ici et vous pourrez voir des magnifiques photos de nature ! Mais soyons sérieux, il y a beaucoup d'autres blogs qui auraient pu être sélectionnés. Dans un futur proche, je vous présenterai quelques-uns de mes favoris. Bonne année à tous !

  • Mon année 2020 (pas trop) nature

    Oh, comment cette année ne s'est pas déroulée comme je l'avais (nous l'avions) prévu ! J'espérais de nombreuses expéditions de photos animalières et des moments mémorables en nature. Et bien sûr, j'avais hâte de retourner en Afrique et d'être en présence des puissants grands félins, des élégantes girafes et des éléphants colossaux. J'étais tout aussi enthousiaste à l'idée de découvrir une fois de plus l'incroyable peuple africain. Mais comme nous le savons tous, cela ne s'est pas produit. Bien sûr, je suis déçu. Mais la réalité est que je suis l'un des chanceux. Ma famille et moi sommes en bonne santé. J'ai toujours un emploi et je suis financièrement solide. Les vraies victimes de cette pandémie sont les personnes qui ont attrapé le virus, dont beaucoup sont décédées ou sont confrontées à des conséquences durables. Et tous les autres qui sont devenus les dommages collatéraux de cette crise. Ils sont nombreux. Des industries ont été anéanties. Comme l'industrie du tourisme. Et de nombreux pays comme le Kenya, la Tanzanie, l'Afrique du Sud, le Botswana et d'autres qui ont besoin de l'industrie du tourisme pour survivre sont en difficulté. Bref, ma déception ne signifie rien en comparaison de tout ça. J’ai malgré tout réussi à capturer de beaux moments en nature cette année. Comme ces colibris colorés photographiés en janvier dernier en Guadeloupe (mon dernier voyage !). Ou ces hérons, canards, colibris et perdrix autour de ma maison. Ou encore les extraordinaires baleines du fleuve Saint-Laurent et le plus mignon des oursons noirs du Saguenay. Pour 2021, j'espère pouvoir retourner en Afrique et vers d'autres destinations sauvages afin, dès que possible, de soutenir l’industrie touristique et ces communautés qui en vivent. D’ici là, je vous souhaite, ma très chère communauté, santé, bonheur et prospérité pour la nouvelle année. Et pourquoi pas, un peu de nature et d'espace sauvage!

  • Une semaine de rêve dans le Mara North Conservancy au Kenya

    C’est commencé. Environ 30 minutes avant le lever du soleil, une lumière mystérieuse émerge de la nuit. Au milieu de la savane, des dizaines de sons étranges nous entourent; la faune est déjà active. L'air est vif et humide, et tranquillement des silhouettes se dessinent devant nos yeux. Magique! J'avais entendu les rumeurs ou même la promesse que Mara North Conservancy méritait une visite, surtout si, comme moi, vous preniez au sérieux votre photographie et l’observation des animaux sauvage. Encore plus si vous recherchiez l’Afrique «d’antan». L’Afrique où vous n’êtes pas obligé de vous battre pour une place parmi 45 camions de safari pour simplement observer un lion endormi. Une Afrique où il était moralement accepté et valorisé d'imposer le moins de stress possible aux animaux, de respecter leur habitat et surtout leur vie sauvage. Une Afrique où vous vous sentiez davantage un invité plutôt qu’un touriste ou pire un intrus. Enfin j'étais ici. Oui, j'exagère clairement. . . . Vous pouvez toujours visiter les grands parcs connus d’Afrique et vous sentir de la même manière, mais vous voudrez peut-être éviter la haute saison. Mais, revenons à Mara North Conservancy. Voici pourquoi, après avoir visité le Serengeti, le Maasai Mara, Chobe River et plusieurs autres, j’ai choisi ce parc pour mon dernier safari. Tourisme à faible densité Au début, ce qui m'a séduit à Mara North, c'est le fait que la réserve offre une expérience moins encombrée que la plupart des grands parcs. Avec 30 000 ha d’habitats spécifiques à la conservation, Mara North a créé une approche touristique à faible densité en permettant d’utiliser un ratio maximum de 142 ha par lit d’invité (350 acres par lit ou une tente pour 700 acres) et contribue ainsi à minimiser l’impact. sur l'environnement et la faune, une approche visuellement apparente. Il y a peu de véhicules sur la route et les animaux sont généralement présents aux points de repère pour l'observation de la faune, un événement parfois rare dans la plupart des autres parcs. En outre, ils limitent à cinq le nombre de véhicules autorisés à rester lors de ces observations de la faune. Par exemple, si vous observez un léopard avec une faune sauvage (nous en avons vu 4 pendant tout le voyage), seul un maximum de 5 véhicules par observation est autorisé et le premier véhicule arrivé à une observation cède le pas. les autres groupes à se rapprocher de l'animal et à apprécier le spectacle. Pour le contexte pendant toute la semaine de mon séjour, ce scénario ne s'est produit que deux fois. Franchement, j'étais heureux de laisser une observation de la faune pour les autres, même si cela signifiait perdre potentiellement la possibilité de photographier ce qui pourrait éventuellement devenir un comportement rare d'un animal si je restais suffisamment longtemps au même endroit. Trop de fois, j’ai vu des animaux littéralement encerclés et étouffés par la circulation automobile et humaine au point que leur comportement change pour refléter leur peur et leur vulnérabilité, cela ne devrait JAMAIS être autorisé! Le développement durable En plus du tourisme à faible densité, j'ai également apprécié le fait que les 12 camps que vous trouverez dans Mara North utilisent des technologies respectueuses de l'environnement telles que des panneaux solaires, des brûleurs écologiques, des systèmes de gestion des déchets «verts» et des eaux usées, le compostage organique pour engrais ou du biogaz. , ainsi que l’utilisation d’éco-détergents et de bois de chauffage issu de cultures durables. J'ai été particulièrement impressionné de visiter les installations technologiques mises en place au camp Karen Blixen, où je suis resté; Ils étaient parmi les meilleurs que j'ai vus en Afrique jusqu'à présent. Parfait pour le photographe de la faune La deuxième raison pour laquelle j'ai été attiré par Mara North Conservancy est le fait que vous avez un meilleur accès aux animaux, ce qui est d'une importance primordiale pour un photographe animalier. Habituellement, dans les parcs nationaux, vous êtes obligé de rester sur les routes balisées. Si les lionceaux les plus mignons sont loin ou si une lionne décide d'aller chasser à 2 000 mètres de la route la plus proche, vos chances de capture sont nulles. Même si vous essayez, il est peu probable que vous obteniez une image correspondant à l'espace disponible sur votre carte mémoire. Dans Mara North, vous êtes autorisé à aller où que votre véhicule de safari puisse vous emmener. Bien sûr, vous êtes autorisé à le faire avec une mise en garde, ne stressez pas les animaux. C'est pourquoi il est si important de limiter le nombre de véhicules lors d'une observation d'animaux sauvages. Je peux vous dire que cette règle, une fois appliquée, a fait toute une différence pour moi. J'aime passer du temps de qualité avec un animal, m'éloigner d'une route principale pour mieux comprendre le comportement de l'animal que je tente de capturer à travers l'objectif. De cette manière, je peux facilement passer une journée à la chasse des frères guépards (ce que j’ai fait!). Donc, Mara North obtient plusieurs points pour cela dans mon livre. Et si vous aimez ce concept, d’autres sociétés de conservation offrent le même type de vision et d’expérience en Afrique. Par exemple, Sabi Sands en Afrique du Sud, à côté du parc national Kruger et de Ndutu en Tanzanie, que j'ai visité et que j'ai absolument adoré. Mais jusqu'à présent, ma meilleure expérience a été de visiter Mara North Conservancy. Partager la richesse avec les communautés locales La troisième raison, bien que pas la dernière, de vouloir visiter cette réserve est profondément enracinée dans ma décision de passer une semaine entière à Mara North, me permettant de faire l'expérience de la vision de la communauté derrière le projet. Nous avons entendu de nombreuses histoires sur les tensions autour des aires de conservation entre propriétaires terriens qui craignent légitimement pour leur bétail. La conservation de la faune est souvent conflictuelle avec les communautés qui ont besoin de gagner leur vie. Il s'agit d'un problème complexe qui dépasse les simples limites voulues pour s'attaquer à des populations d'animaux sauvages en bonne santé tout en minimisant les impacts sur l'économie des petites communautés. Ici, à Mara North, ils ont résolu ce problème avec beaucoup de succès. En janvier 2009, 13 organisations touristiques se sont associées à 800 propriétaires terriens maasaï pour créer le Mara North Conservancy. Ils ont essentiellement créé un partenariat à parts égales entre le tourisme et les intérêts de la communauté locale dans le but clair de le faire fonctionner. La conservation de la faune avec des engagements à long terme pour l'environnement et les communautés locales est au cœur de ce projet étonnant. Même de nos jours, Mara North continue de s’épanouir avec cette philosophie en louant littéralement des parcelles de terrain à des propriétaires terriens maasaï individuels qui perçoivent des revenus substantiels et directs provenant de la conservation de la faune. Ensemble, la conservation et la communauté masaï mettent en œuvre des politiques de gestion des terres rationnelles, notamment des plans de pâturage contrôlés et des plans d’utilisation des terres communautaires. L'idée est que le bétail et la faune puissent cohabiter si vous planifiez bien. Par exemple, lors de notre semaine là-bas, notre guide Simon a pris le temps de passer chez un éleveur maasaï qui déplaçait son troupeau à travers un terrain en herbe pour l'avertir qu'un guépard proche se dirigeait vers eux. Tout de suite, le berger a changé de direction. C’était une discussion simple qui est au cœur des relations saines et des partenariats qui conditionnent le succès de la conservation. Pour les gens aussi Comme je le dis à tous ceux qui veulent l’écouter, l’Afrique est un endroit où je trouve beaucoup de bonheur. La nature et la faune sont bien sûr importantes, mais les personnes que je rencontre sont tout aussi importantes. Je voudrais présenter trois personnes du camp Karen Blixen qui ont marqué mon voyage cette année. Chacun d’entre eux est membre de la magnifique tribu des Massaïs située au Kenya et en Tanzanie. Le premier est Simon, notre guide de la faune très compétent. Des yeux de lynx, un sourire contagieux, un formidable sens de l'humour et la patience d'un moine. Nous avons passé des dizaines d’heures avec lui et nous avons apprécié chaque instant! La seconde est Liliane, la responsable du camp. Elle est l'une des premières femmes noires à occuper un tel poste. Je ne suis pas surpris. Cette jeune femme belle, dynamique et intelligente dirige le camp avec une main ferme et souriante. Elle rencontre et échange avec chaque invité et nous met à l'aise. Nous étions avec la famille ici. Aucun détail ne lui échappe. Au travers de Karen Blixen Camp Trust, elle gère plusieurs investissements de transformation de la communauté pour les habitants. En plus de cet emploi à temps plein, elle dirige une entreprise sociale qui offre une solution à la conservation de l'environnement en fournissant des biocarburants durables. L'entreprise emploie 7 personnes de la communauté locale. C'est une impressionnante directrice du tourisme qui réussira de manière extraordinaire, j'en suis sûr. Nous avons eu le plaisir de dîner avec elle et elle nous a accompagnés en safari pendant une demi-journée. J'ai tellement appris avec elle et j'en suis très reconnaissante. Le troisième, Wycliffe, est un très grand jeune Masaï qui travaille au bureau mais qui est sur le point de terminer ses études pour devenir guide de la faune avec une certification en bronze du Kenya. Ensemble, nous avons exploré la périphérie du camp pour aider à identifier certaines des espèces d'oiseaux résidents. Si vous voyez son sourire sur une photo, vous comprendrez à quel point il est contagieux et toujours présent. Il était fier de parler pour échanger quelques mots de français avec moi en m'expliquant qu'il allait devenir un excellent guide. Que puis-je dire si ce n’est que j’ai beaucoup d’espoir pour ces gens, leur communauté et leur pays? Asante sana na Karibu Sana Kenya, c’est-à-dire «merci beaucoup et bienvenue au Kenya en swahili»! Si vous voulez en savoir plus sur la Mara North Conservancy, visitez http://maranorth.org/ Pour plus d'informations sur Karen Blixen Camp, visitez le site http://www.karenblixencamp.com/ Pour plus d'informations sur Karen Blixen Camp Trust, visitez https://www.karenblixencamptrust.org/ Safari Planner S'y rendre Les visiteurs internationaux se rendront à Nairobi, qui est la principale plaque tournante des transports en Afrique. Les arrivées internationales arrivent généralement à l'aéroport international Jomo Kenyatta. Ensuite, vous aurez le choix de voler ou de conduire à Mara North Conservancy. Plusieurs compagnies aériennes kényanes utilisent la piste d'atterrissage de Mara North depuis Nairobi (aéroport de Wilson), notamment Safarilink et Airkenya. Si vous souhaitez effectuer un trajet en voiture, il vous faudra environ 5 à 6 heures pour aller de Nairobi à Mara North Conservancy. De Nairobi à Narok, il vous faudra environ 2 à 2 heures et demi sur une route magnifique et lisse. À Narok, une station-service se trouve juste de l’autre côté de la rivière, ce qui en fait une halte idéale pour la nourriture, les toilettes et les collations. Si vous quittez Narok par la porte Sekenani, il vous faudra environ 2 à 3 heures et demie, en fonction du véhicule avec lequel vous voyagez. Où rester Vous avez le choix entre 12 camps membres, Karen Blixen étant la plus grande, avec 22 belles et grandes tentes en toile de luxe - chacune posée sur une belle plate-forme en bois avec une grande véranda. http://www.karenblixencamp.com/. Pour plus d'informations sur d'autres camps, voir http://maranorth.org/member-camps/ Pour combien de temps Nous avons choisi de passer sept jours complets à Mara North Conservancy et c'était tout simplement parfait. Cependant, certains choisiront de partager leur séjour entre Mara North et la réserve nationale de Masai Mara. Il faut seulement environ une heure pour conduire entre les deux réserves. Quand doit-on aller Les meilleurs mois d'observation de la faune sont ceux de la saison sèche, de la fin juin au mois d'octobre. Mais vous pouvez certainement visiter Mara North pendant la basse saison ou la saison des pluies de novembre à mai. The Conservancy sera moins occupé, il sera dépourvu de poussière et vert et vous obtiendrez les meilleurs tarifs. Il y a beaucoup d'animaux résidents et l'observation de la faune est toujours bonne. Cet article a été initialement publié dans le magazine Wildlife Photographic en anglais.

  • Une photo de Jacques-André Dupont exposée à Beiijing

    La nature et la faune du Canada sera à l'honneur en Chine à la fin avril 2016, dans le cadre du plus grand événement culturel annuel de la Chine, Meet in Beijing. Le festival qui chaque année dure un mois met en vedette des artistes et des interprètes prestigieux de 25 pays différents. Cette année, le Canada a été choisi comme pays d'honneur. L'exposition organisée par Canadian Geographic présentera une sélection de 33 photos époustouflantes de l'Arctique, la faune, les parcs, les paysages urbains et les paysages du Canada; et inclura un magnifique portrait de Macareux Moine, capté par Jacques-André aux Iles de Mingan.

  • Ma photo en couverture du magazine Outdoor Photography - UK!

    Pouvez-vous imaginer à quel point j'étais fier lorsque le rédacteur en chef du magazine Outdoor Photography (Royaume-Uni), Steve Watkins, m'a contacté pour acheter les droits d'une de mes images pour le numéro de mars 2016 du magazine? Vous pouvez dire ce que vous voulez, mais pour un photographe passionné, faire imprimer une de ses images sur la première page d'une publication aussi prestigieuse est tout un accomplissement. Et recevoir votre copie par la poste est tout simplement trop beau pour être vrai! La photo intitulée Tree of Life a été prise lors de mon voyage en Tanzanie en 2015 et montre un arbre solitaire sur une formation rocheuse au coucher du soleil, près de la zone de conservation de Ngorongoro.

  • Micro Tutoriel photo animalière... Visez les Yeux!

    Humains ou animaux sauvages, il en va de même. Une excellente façon de créer une image forte est de photographier votre sujet au niveau des yeux. Vous réussirez à établir une connexion avec votre sujet. Ne dit-on pas que les yeux sont le miroir de l'âme? Croyez-moi. Lorsque vous visez votre lentille 500mm directement sur le regard du léopard, vous allez vivre un moment remarquable!

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